Tout d’abord, beaucoup de réactions et de crises de nos jeunes enfants sont dues au fait que leur cerveau est en voie de développement. Développer nos connaissances sur ce cerveau immature nous permet de mieux comprendre que notre enfant ne fait pas exprès de faire une colère ou qu’il ne cherche pas simplement à nous « tester ».
Ensuite, comprendre le stress que vit l’enfant de façon physiologique lors de la crise nous permet de mieux l’aider à s’apaiser sur l’instant, mais aussi de façon durable, car nous lui permettons de développer les ressources qui lui permettront d’atteindre un meilleur équilibre émotionnel à l’âge adulte.
Enfin, grâce à une gestion des crises différente de l’éducation autoritaire que nous avons souvent connue, nous favorisons la mise en place d’un lien d’attachement sécurisant.